Kwilu : Dialogue intergénérationnel communautaire pour le changement de comportement face aux VBG/EAS/HS en faveur des autorités locales, leaders et membres des communautés des territoires de Gungu, Bulungu et Idiofa organisé par TPO DRC .
publié le 2024-12-11 10:03:04
Rédigé par : SENGHOR MALIBITA
97 personnes dont 41 femmes et 56 hommes, parmi elles, les personnes à mobilités réduites de différentes générations ont pris part à ces assises, organisées par TPO DRC du 06 au 07 décembre 2024 à Gungu, Bulungu et Idiofa, les territoires de la province de Kwilu, en RDC, pour discuter sur les facteurs communautaires qui favorisent les Violences basées sur le genre, Exploitation et Abus Sexuel et Harcèlement Sexuel (VBG/EAS/HS).
Ce dialogue avait comme objectifs, l’identification des facteurs communautaires à la base des VBG/EAS/HS et la mise en place d’un plan d’action communautaire de prévention contre les VBG/EAS/HS dans les trois territoires de la province de Kwilu ciblés par le Programme National de Développement Agricole (PNDA).
Dans son mot d’ouverture, l’Administrateur du territoire de Bulungu à d’intérim, Monsieur Triphon Mukunzi Muyala a tout d’abord remercié l’organisation TPO DRC, pour cette initiative entreprise dans la prévention des VBG/EAS/HS avec l’appui de son partenaire: « La violence domestique, le mariage précoce, les mutilations génitales féminines, les harcèlements sexuels et la discrimination… sont autant d’atrocités qui détruisent des vies et des communautés entières. Nous reconnaissons que de nombreux défis restent à relever pour mettre fin au phénomène de VBG/EAS/HS. Pour y parvenir, il est nécessaire de sensibiliser la population pour briser le silence autour des VBG, de nous impliquer et produire des données pour créer des preuves et d’éduquer les jeunes, les femmes et les hommes à travers des initiatives du changement positif de comportement…. Cet atelier est une opportunité pour nous de renforcer nos compétences, d’échanger nos expériences et nos connaissances en vue de dégager les causes et facteurs qui sont à la base des VBG dans nos territoires ».
Le premier jour, la facilitatrice Madame Carine Kabamba, superviseure terrain du territoire de Bulungu, a approfondi les connaissances générales sur les VBG et le type de réponse à apporter et le second jour les focus groupes ont été constitués, dans lesquels les participants ont identifié les facteurs culturels, sociaux, économiques, individuels ainsi que d’autres qui sont à la base des VBG/EAS/HS dans leurs communautés.
À la fin de cet exercice, un plan d’action a été élaboré et les responsables ont été choisi pour faciliter la mise en œuvre de ce plan pour chaque facteur et se sont fixés une échéance.
Monsieur Roger Musuluku Mulemi, Secrétaire de l’ASONABU (Association des natifs Amis de Bulungu) et l’un des participants à ce dialogue indique que plusieurs facteurs sont à la base des VBG : « l’État congolais est démissionnaire de ses responsabilités. La pauvreté, les réseaux sociaux, les boissons fortement alcoolisées, les us et coutumes, le mauvais habillement des jeunes filles, le chômage sont des facteurs à la base des VBG à tous les niveaux dans notre milieu. Toutefois, étant déjà devant un fait accompli, nous devons nous prendre en charge en sensibilisant porte à porte nos populations en vue de prévenir les actes de violence qui font rage dans notre territoire de Bulungu ».
Un deuxième dialogue sera organisé au quatrième trimestre pour évaluer le niveau d’acceptabilité du plan d’action élaboré par les participants lors de ces échanges, a-t-elle signalé Madame Carine Kabamba.
Pour rappel, ce dialogue intergénérationnel communautaire rentre dans le cadre de la mise en œuvre des activités VBG en appui au Programme National de Développement Agricole à travers l’engagement des hommes, des femmes et des jeunes ainsi que des communautés à transformer les normes sociales et culturelles défavorables à l’égalité des sexes et à promouvoir la lutte contre les VBG/EAS/HS dans la province de Kwilu ».
Publié par : CHRISTINA NDULABunyakiri : Mission conjointe de la Direction du Développement et de la Coopération Suisse (DDC) avec ses partenaires dans la zone de santé de Bunyakiri organisée du 02 au 06 décembre 2024.
publié le 2024-12-10 07:49:39
Rédigé par : DESTINOLAS BWENGE
Cette mission avait pour objectif principal de faire l’introduction du nouveau management de la DDC dans la zone de convergence de Bunyakiri et également de faire le suivi des recommandations et résolutions issues de la dernière mission conjointe de juin 2023 et des ateliers de Bukavu sur le Nexus et leur impact sur la mise en œuvre des projets/programmes de la Suisse dans la zone de santé de Bunyakiri, province du Sud Kivu, en RDC.
La délégation composée du Directeur de la DDC et son adjoint, ses chargés des programmes d’une part, des agences du système de nations unies et des partenaires de mise en œuvre d’autre part, dont TPO DRC représentée par son Directeur pays le Dr Doris BENGIBABUYA.
Pour ce qui concerne TPO DRC, la délégation a visité avec satisfaction les activités du projet d’appui à la relance économique et création d’emploi en faveur des jeunes et des femmes dans le cadre du programme PEEMIR sur quatre volets.
Les volets visités concernaient les travaux de traçage de la route Bitale-Maibano en la parcourant par véhicule sur 9Km ouvert par la population, où TPO DRC a construit 4 ponts et 13 dalots, les jeunes et femmes membres des AVEC (Association Villageoise d’Epargne et de Crédit) et MUSO (Mutuelle de Solidarité), jeunes et femmes membres des unités de transformation, jeunes et femmes propriétaires de initiatives et micro entreprise ainsi que les activités de l’aide humanitaire, notamment celles de la protection des enfants.
La délégation a également visité l’EAE (Espace Ami d’Enfants) TSHIGOMA, l’École primaire MIHINGA et le centre de santé de Bunyakiri construits par le projet aide humanitaire avec l’appui financier de la DDC.
En présence des autorités locales et du conseil local de coordination des actions humanitaires, le nouveau directeur de la DDC, Monsieur Thomas JENATSCH, s’est dit impressionné de la qualité des travaux de la route, de la contribution de la Suisse à la création des emplois en faveur des jeunes et femmes, de sa participation au plan communautaire de réduction de risque de protection en faveur des enfants et femmes.
Il a encouragé la communauté et TPO DRC de fournir encore les efforts pour bien finaliser la route, et a prié aux différents partenaires de mise en œuvre qui travaillent avec des AVEC et MUSO de se concerter sous la facilitation de la DDC afin d’avoir des approches concertées et harmonisées.
Monsieur Thomas JENATSCH n’a pas manqué de souligner que la DDC est un partenaire loyal dans la zone de santé de Bunyakiri et qu’elle aimerait soutenir tous les efforts locaux de développement pour que Bunyakiri et toute la région du Sud Kivu puissent atteindre un niveau de développement élevé et améliorer la dignité humaine en donnant l’accès à la santé, l’éducation et bien d’autres domaines.
Noter que cette mission a permis à la DDC d’évaluer le niveau de réalisation des activités et la progression vers les résultats planifiés dans les différents projets. Selon le cas, les recommandations ont été données aux organisations partenaires et autres parties prenantes pour favoriser la coordination et la complémentarité des interventions pour le renforcement de l’approche du triple nexus. Publié par : CHRISTINA NDULAKASAI CENTRAL: Le projet EDUK’AS se déploie pour la protection de l'enfant et sa prise en charge psychosociale en milieux scolaires.
publié le 2024-11-26 14:19:29
Rédigé par : PRECIEUX THAMANI
Les enseignants, les membres des comités des parents (COPA) et les leaders communautaires des écoles primaires des sous division Dibaya 1, 2 et 3, partenaires de TPO DRC, participent depuis Dimanche 24 Novembre 2024 à une session de formation sur la protection de l'enfant, la vulnérabilité de l'enfant et la prise en charge psychosociale en milieux scolaires.
L’objectif principal de ces assises est de contribuer à l’amélioration de la qualité d’enseignement et du support psychosocial fourni aux enfants présentant des traumatismes liés aux effets négatifs des attaques qu’ils ont connues afin d’améliorer leurs résiliences.
Cette formation est organisée dans 9 sites et facilitée par 10 inspecteurs itinérants de la sous division pool primaire Dibaya 1, 2 et 3 après avoir reçu à leur tour la formation sur les mêmes thématiques, avec les experts d’AVSI.
C'est dans le cadre du projet « action d'appui à l'éducation dans la province du Kasaï central EDUK'AS, mis en œuvre par le consortium AVSI-AIDES-TPO DRC-I4Impact et financé par l'Union Européenne.
Grâce à cette capacitation, les participants seront aptes à détecter les situations anormales ou à risque des élèves en milieu scolaires ou dans leurs communautés.
Au total 300 personnes participent à cette formation parmi lesquelles 121 dans la sous division Dibaya 1, dont 46 enseignants, 60 membres des COPA et 15 leaders communautaires ; 82 participants dans la sous division Dibaya 2, dont 27 enseignants, 40 membres des COPA et 15 leaders communautaires et enfin 97 participants dans la sous division Dibaya 3, dont 32 enseignants, 50 membres des COPA et 15 leaders communautaires.
Pour rappel, cette formation sur la protection de l'enfant, la vulnérabilité de l'enfant et la prise en charge psychosociale en milieux scolaires se tient simultanément dans différents axes du territoire de Dibaya en province du Kasaï Central et va du 24 au 28 Novembre 2024.
Publié par : SIFA NAMEGABEKASAÏ CENTRAL : Inciter les élèves et les membres de la communauté à découvrir l’importance de la toilette au moyen d’activités ludiques et éducatives, organisées par TPO DRC, à l’occasion de la journée internationale des toilettes célébrée le 19 novembre
publié le 2024-11-21 06:48:31
Rédigé par : PRECIEUX THAMANI
« Les toilettes, un espace de paix » tel est le thème choisi pour célébrer cette année la journée internationale des toilettes. A cette occasion, TPO DRC en a profité pour organiser les activités éducatives et ludiques des élèves de la sous division Dibaya 1,2 et 3 et des membres de communautés du territoire de Dibaya, pour les inciter à découvrir l’importance de la toilette et la nécessité de la protéger quotidiennement en tant qu’outil au service de la santé et du développement durable.
Une école pilote a été choisie pour la célébration de cette journée dans chaque sous division dont : l’école primaire 2 TSHILUNGA dans la sous division de Dibaya 2, aire de sante de Nkufulu dans la zone de santé de Tshikula. L’école primaire Kasangidi dans la sous division de Dibaya 1, aire de santé de Mupoyo dans la zone de santé de Dibaya. L’école primaire DIMUKAYI dans la sous division de Dibaya 3, aire de santé Lumbudi dans la zone de santé de Lubondaie.
1036 Personnes dont 471 filles ,540 garçons ,14 hommes et 11femmes parmi, les quels 4 personnes en situation d’handicap ont participé à cette activité, sous la facilitation des staffs du projet en présence des membres des COPA (comités des parents), les leaders communautaires, les enseignants et élèves.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet « Action d'appui à l'EDUcation dans la province du KASaï central « EDU’KAS », mis en œuvre par le consortium AVSI- AIDES-TPO DRC-E4I avec l’appui financier de l’Union Européenne.
Au début de l’activité, Monsieur Valery WETEWABO, le superviseur éducation TPO RDC, a informé les membres du gouvernement des élèves et le club d’hygiène et assainissement des écoles des 3 sous divisions citées, sur la campagne de cette année intitulée «Les toilettes, espace de paix» qui souligne les conséquences des systèmes d’assainissement défectueux ou insuffisants pour la vie des personnes, et qui montre en quoi un assainissement durable est indispensable à une société saine et stable.
D’après lui, les dispositifs de laves mains ont servi comme matériels de manipulation pour expliquer aux participants l’importance de la toilette et de son assainissement dans un monde où l’assainissement est menacé par les conflits, les changements climatiques, les catastrophes et la négligence.
Il les a recommandés de protéger et d’assainir les toilettes pour la santé publique et l’hygiène du milieu car quand les systèmes de toilettes sont insuffisants, endommagés ou hors d’usage, la pollution se répand, de même que certaines maladies mortelles.
Après la campagne de sensibilisation, s’en est suivi la distribution des kits d’hygiène et d’assainissement (8Dispositif, 8 Seaux robinet de 20 litres, 8 petits bassins, 6 serviettes, 2 balais traductionnel avec manche, 2 cartons de savon de 72 pièces, 6 Bidons de 25 litres, 50 gobelets en plastique et 2 poubelles publiques en fût plastique), pour atteindre l’objectif de développement durable (ODD) n° 6 concernant l’eau et l’assainissement pour tous a indiqué Monsieur Valery WETEWABO.
Signalons que trois messages clés ont été choisi pour accompagner la campagne de cette année entre autres: les toilettes, espace de paix ; les toilettes, espace de protection et les toilettes, espace de progrès Publié par : CHRISTINA NDULAKWILU : 6 leaders communautaires, 4 OBC (Organisations à base Communautaire) et 11 prestataires des services VBG viennent d’être formés sur les thématiques de prévention des VBG/EAS/HS dans les territoires de Gungu, Bulungu et Idiofa par TPO DRC.
publié le 2024-11-19 08:37:58
Rédigé par : SENGHOR MALIBITA
Du 15 au 16 novembre 2024, à l’Hôtel Marinel, Ville de Kikwit, Province de Kwilu, TPO DRC a formé 6 leaders communautaires, 4 OBC (Organisation à Base Communautaire) et 11 prestataires de services sur différentes thématiques de prévention des Violences Basées sur le Genre (VBG) et les Exploitations, Abus et Harcèlements Sexuels (EAS/HS) dans les trois territoires ciblés par le Programme National de Développement Agricole PNDA.
Dans son mot d’ouverture, Monsieur Rodrigue Mubonesa, Chef de Projet a fait savoir aux participants que le choix des cibles diversifiées était nécessaire car la prévention des violences basées sur le genre nécessite l’implication de tout le monde, surtout des acteurs et leaders communautaires qui sont proches de la population.
Selon lui, le projet veut que ces derniers aient une compréhension approfondie sur ces thématiques qui leur permettront de sensibiliser, de prévenir et de dénoncer les cas de VBG/EAS/HS au sein de la communauté.
Le facilitateur, Monsieur Odon ISHINGWA, Psychologue Clinicien, a procédé par un pré-test pour évaluer le niveau de connaissance des participants avant d’aborder les modules souscrits au programme de la formation.
Pour une meilleure compréhension des contenus des modules, le facilitateur a fait recours à plusieurs techniques telles que le brainstorming, les exposés, les démonstrations et les travaux en groupe.
Il a transmis les connaissances nécessaires aux participants sur les différentes thématiques prévues dans les modules, entre autres : la définition des concepts (genre, égalité et équité), les types des VBG ,les principes directeurs dans la lutte contre les VBG et les EAS/HS , les facteurs qui les favorisent et leurs conséquences, les mythes et préjugés en matière de VBG, le rôle des leaders communautaires dans la sensibilisation, les notions sur le counseling des survivants des VBG/EAS/HS, l’étude des cas, et les notions sur la PSEA.Cela, pour les inciter à s’impliquer significativement dans la prévention et réponse aux VBG/EAS/HS.
Docteur MUTELEMBE MAKONGO Mitterrand, l’un des leaders communautaires, a déclaré être ravi de cette formation riche et instructive : « je viens d’avoir une lumière sur les connaissances vagues que j’avais concernant les VBG. C’est un ajout très capital pour moi ! Je m’engage à mener des sensibilisations dans les lieux de service et au sein de la communauté pour faire comprendre le danger des VBG et pousser chacun de nous à devenir acteur de prévention des VBG dont sont victimes nos mamans, nos jeunes filles ainsi que les hommes sans qu’ils ne le découvrent ».
À la fin de la formation, les participants ont été soumis à un post-test pour mesurer les acquis de la formation et ont signé la politique de protection de l’enfant et le code de conduite (protection contre les abus et les exploitations sexuels), ceci dans le but de s’engager individuellement dans la prévention des VBG/EAS/HS.
Rappelons que cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des activités VBG en appui aux Programme National de Développement Agricole financé par le Gouvernement congolais avec l’appui financier de la Banque Mondiale , pour une durée de 12 mois.
Publié par : CHRISTINA NDULAKWILU : Les APS, animateurs et autres parties prenantes formés sur la prise en charge psychosociale des survivants des VBG/EAS/HS dans les territoires de Gungu, Bulungu et Idiofa par TPO DRC
publié le 2024-11-16 18:53:46
Rédigé par : SENGHOR MALIBITA
TPO DRC a formé du 11 au 13 novembre 2024 les assistants psycho-sociaux (APS), animateurs, OBC (Organisation à Base Communautaire) et autres parties prenantes qui œuvrent dans la prévention et réponse aux VBG/EAS/HS sur la prise en charge des survivants des VBG, dans les trois territoires ciblés par le Programme National de Développement Agricole PNDA.
C’est dans le cadre de la mission de mise œuvre des activités VBG, en appui au Programme National de Développement Agricole à travers l’engagement des hommes, des femmes et des jeunes à transformer les normes sociales et culturelles défavorables à l’égalité des sexes et à promouvoir la lutte contre les VBG/EAS/HS dans la province de Kwilu », Sous le financement du gouvernement congolais avec l’appui de la banque mondiale.
Avec cette formation, les participants seront impliqués davantage dans la prévention et réponse aux VBG/EAS/HS, dans la sensibilisation des communautés sur la nécessité d’accéder aux différents services de prise en charge dans le délai en cas de violences sexuelles et celles basées sur le genre, à en croire le facilitateur Odon ISHINGWA.
Madame Espérance OKELONZI, participante se dit satisfaite de la formation et est prête à réaliser le travail d’une APS (assistante psychosociale) dans son territoire d’Idiofa .
La formation a touché également les aspect en rapport avec les principes de base de la PSEA ,les premiers secours psychologiques et soutien de première ligne la gestion émotionnelle des cas VBG, la prévention psychothérapeutique des cas VBG, les approches pour la prise en charge des survivants pour le trouble du traumatisme, le remplissage des différents outils de collecte des données et autres.
Publié par : SIFA NAMEGABEKASAI CENTRAL: 5 membres des COPA et 5 enseignants par école ciblée dans les sous divisions Dibaya 1 et 3, partenaires de TPO DRC, capacités sur la lutte contre l’absentéisme en milieu scolaire.
publié le 2024-10-30 14:29:42
Rédigé par : PRECIEUX THAMANI
L’objectif principal de ces assises était de contribuer à l’amélioration des résultats des élèves dans les écoles ciblées à travers les sensibilisations et le suivi de l'accès et du maintien des enfants à l'école.
Ceci dans le cadre du projet « Action d'appui à l'éducation dans la province du Kasaï Central », EDU’KAS, mis en œuvre par le consortium AVSI-AIDES-TPO DRC-E4I et financé par l'Union Européenne.
Durant 4 jours soit du 25 au 28 Octobre 2024, la formation a touché les aspects tels que : la définition des termes, les causes et les conséquences de l’absentéisme scolaire ainsi que les mesures de contournement.
Le premier site a réuni 30 participants dont 25 hommes et 5 Femmes des écoles Primaires 2Tshimenga, Bidibimpe et Nsakadibue. Le second site a réuni 20 participants dont 17 hommes et 3 femmes des écoles primaires Kasangidi et Kalube et 10 participants dont 2 Femmes et 8 Hommes à l’école primaire Nshirintulukila ; toutes ces 6 écoles de la sous division Dibaya 1.
Quant à la sous division Dibaya 3, 10 participants dont 2 femmes et 8 hommes ont pris part à cette formation à l’EP Dimukayi, 20 participants dont 3 femmes et 17hommes du site de Kamponde ont représenté deux écoles primaires : Nvurya et Lubi, 20 participants dont 5 femmes et 15 hommes ont à leur tour représenté 2 écoles primaires : EP Mansamba et 1Bitanda de la zone de santé de Lubondaie.
Au total 110 participants dont 29 femmes et 81 hommes des sous divisions Dibaya 1 et 3, dans deux zones de santé dont Lubondaie et Dibayi ont pris part à ces assises.
Signalons que cette session est prévue du 31 Octobre au 3 Novembre 2024 pour la sous division Dibaya 2.
Après la formation un comité appelé à mener les activités de monitorage sur la fréquentation scolaire, a été mis en place dans chaque école .Le dit comité aura également comme tâche de mener des sensibilisations et organiser des visites à domicile. Chaque comité a été doté des matériels de sensibilisation dont une visibilité (chapeau, T-shirt et un mégaphone chargeable).
Cette formation a été facilitée par les officiers éducation Janvier NDOOLE de TPO DRC et ODIA Bernadette de AVSI ainsi que l’officier Meal Daddy KASHAMA de AVSI.
Publié par : SIFA NAMEGABEKWILU : Actualisation et validation de la cartographie des services, acteurs et risques VBG/EAS/HS dans les territoires de Gungu, Bulungu et Idiofa par TPO DRC
publié le 2024-10-30 14:05:36
Rédigé par : SENGHOR MALIBITA
Lundi 28 octobre 2024, TPO DRC a tenu l’atelier de mise en place de la cartographie des services et acteurs qui interviennent dans la prévention et réponse aux VBG/EAS/HS, dans les trois territoires ciblés par le Programme National de Développement Agricole. C’était à l’hôtel MARINEL à Kikwit en présence des autorités politico-administratives, de la délégation provinciale du PNDA, OBC (organisations à base communautaire) et d’autres invités issus des organisations membres de la société civile.
Cette activité s’inscrit dans le cadre de la mission de mise œuvre des activités VBG, en appui au Programme National de Développement Agricole à travers l’engagement des hommes, des femmes et des jeunes ainsi que des communautés à transformer les normes sociales et culturelles défavorables à l’égalité des sexes et à promouvoir la lutte contre les VBG/EAS/HS dans la province de Kwilu ».
L’objectif principal était de mettre en place et d’actualiser le circuit de référencement des cas des VBG pour les territoires de Gungu, Bulungu et Idiofa qui sont les zones d’intervention du PNDA dans la province de Kwilu.
Dans son mot d’ouverture, Madame CHARLOTTE LULA, Maire Adjointe de la ville de Kikwit a encouragé les acteurs qui interviennent dans la prévention des VBG, à mener avec assiduité les activités de sensibilisation sur terrain, en vue de lutter contre les VBG dans la communauté.
Ces sensibilisations permettront aux femmes et filles victimes d’atrocités de briser le silence et dénoncer les bourreaux pour qu’ils répondent de leurs actes, ce qui pourra atténuer les violences dans la province de Kwilu a-t-elle ajoutée.
Lors de sa présentation, Rodrigue Mubonesa Coordonnateur dudit projet, a indiqué que cette cartographie des services, acteurs et risques est le résultat des consultations communautaires qui ont eu lieu dans les trois territoires qui constituent les zones d’intervention du projet. Consultations auxquelles les services territoriaux du Genre, Famille et Enfant ont activement pris part.
Pendant cette séance, les discussions ont tourné sur six points primordiaux : la réponse immédiate par rapport au circuit de référencement, l’organisation de la coordination VBG, le point d’entrée psychosociale, le point d’entrée médicale, l’assistance juridique / judiciaire ainsi que la réinsertion socioéconomique.
Pour Madame Sophie MATARI, Chef de Division Provinciale du Genre, Famille et Enfant de Kwilu, la mise en place de cette cartographie dans les trois territoires facilitera les acteurs et services du genre d’entrer en action pour identifier, référer et prendre en charge tous les cas des VBG. À cet effet, elle appelle tous les agents et structures territoriaux qui travaillent avec TPO DRC à renforcer leurs capacités et mécanismes en vue d’amener la population à s’approprier le projet.
À l’issue de cet atelier BAKENGESA DJUMA Christophe, Chef de Sous Bureau Zone Ouest TPO DRC, a demandé à toute la population bénéficiaire du PNDA et à tous les acteurs de prise en charge des VBG de s’approprier le circuit de référencement mis en place qui leur permettent de bien orienter les cas des VBG tout en respectant les normes standards afin que les survivants(es) puissent bénéficier d’une prise en charge appropriée.
Pour rappel, cette mission de 12 mois, est financée par le gouvernement congolais, à travers le Programme National de Développement Agricole avec l’appui de la Banque Mondiale et vise à contribuer à la prévention et réponse aux Violences Basées sur le Genre en vue d’une amélioration soutenue du bien être des personnes affectées, y compris l’engagement des hommes, des femmes et des jeunes à transformer les normes sociales et culturelles défavorables à l’égalité des sexes et à promouvoir la lutte contre les VBG/EAS/HS lié à la mise œuvre des activités du PNDA dans la province de Kwilu.
Publié par : CHRISTINA NDULAKASAÏ CENTRAL : Lancement des cours de rattrapage et distribution de kits scolaires aux enfants hors du système scolaire dans le territoire de Dibaya, sous-divisions de Dibaya 1, 2 et 3.
publié le 2024-10-23 13:11:06
Rédigé par : SIFA NAMEGABE
Une école pilote a été choisie pour le lancement dans chaque sous-division, à savoir : l’école primaire Diondo dans la sous-division de Dibaya 2, aire de santé de Nkufulu, dans la zone de santé de Tshikula ; l’école primaire Kasangidi dans la sous-division de Dibaya 1, aire de santé de Mopoyo, dans la zone de santé de Dibaya ; et l’école primaire 1 Bitanda dans la sous-division de Dibaya 3, aire de santé de Tshidimba, dans la zone de santé de Lubondaie.
Cette distribution de kits scolaires s'inscrit dans le cadre du projet « Action d'appui à l'éducation dans la province du Kasaï Central », EDU’KAS, mis en œuvre par le consortium AVSI-AIDES-TPO DRC-E4I et financé par l'Union Européenne.
Cette activité a été réalisée sous la facilitation et la supervision des inspecteurs du pool primaire des sous-divisions Dibaya 1, 2 et 3, avec le soutien du personnel du projet, en présence des membres des COPA (Comités des parents), des leaders communautaires et des chefs de villages.
Tout a commencé par un pré-test soumis aux enfants, élaboré par les enseignants et validé par les inspecteurs itinérants des pools primaires des trois sous-divisions mentionnées, afin d’évaluer le niveau de connaissance des enfants en mathématiques, en français et en langues nationales, qui constituent les cours de rattrapage. Cela a été suivi de la distribution de kits comprenant des sacs à dos, des cahiers, des stylos, des crayons et des gommes.
Au total 374 enfants, dont 198 filles et 176 garçons, ont bénéficié de ces kits dans les 15 écoles ciblées par le projet EDU’KAS.
Pour rappel, les enseignants et directeurs des 15 écoles primaires des sous-divisions Dibaya 1, 2 et 3, partenaires de TPO DRC, ont été formés sur l'éducation accélérée dans le cadre du même projet.
Ces enseignants auront ensuite pour mission d'encadrer ces enfants hors du système scolaire pendant trois mois maximum, afin de faciliter leur intégration dans le cursus normal, en mathématiques, en langue congolaise, ainsi qu'en lecture et écriture, en se référant aux dix principes du programme de l’éducation accélérée. Ils seront suivis par les inspecteurs itinérants et le personnel du projet.
Lire aussi : Les enseignants et directeurs de 9 écoles primaires des sous division Dibaya 1 et 3, partenaires de TPO DRC, formés sur l'éducation accélérée https://www.tpordc.org/activite.php?id=207
En général, ces activités ont comme objectif de contribuer à l’amélioration de la qualité de l’enseignement dans les écoles ciblées en vue de l’amélioration du bien-être de l’enfant.
Publié par : CHRISTINA NDULASUD-KIVU : 32 prestataires de soins des zones de santé de Kalehe et Minova, formés sur la gestion des cas des VBG par TPO DRC avec l’appui des fonds CERF à travers UNFPA.
publié le 2024-10-21 10:11:48
Rédigé par : PEKE DAMIEN
18 hommes et 14 femmes prestataires de soins des Zones de santé de Kalehe et Minova dans le territoire de Kalehe, Sud-Kivu en République démocratique du Congo viennent de bénéficier d'un renforcement de capacité sur la gestion des cas de violences basé sur le genre (VBG) par TPO DRC dans le cadre du projet de : « Prévention et réponse multisectorielle d'urgence aux besoins des survivantes des violences basées sur le genre (VBG) et protection contre l'exploitation et les abus sexuels dans les provinces du Nord- Kivu et Sud-Kivu ».
Cette formation s'inscrit dans le souci de fournir aux prestataires de soins, Assistants Psychosociaux (APS), psychologues cliniciens les compétences nécessaires sur la gestion des cas de VBG suivant le protocole en vigueur en RDC, ce qui leur permet de rester aligner derrière la politique nationale pendant leur pratique quotidienne.
Avec cette formation, les prestataires des soins formés reçoivent un plus sur la complétude des fiches de documentation des cas ainsi que le système de référencement pour une bonne prise en charge holistique des survivant(e)s des VBG/EAS tout en souhaitant que les participants s'approprie les connaissances acquises pour lutter contre les VBG/EAS/HS, les transmettent et pérennisent aux autres prestataires de soins de formations sanitaires (FOSA) ciblés par le projet.
Publié par : CHRISTINA NDULAJournée internationale de la fille 2024 : les acteurs humanitaires appelés à s’engager en faveur de l’éducation des filles et leur libération des injustices liées aux mariages précoces et autres préjugés.
publié le 2024-10-15 14:48:19
Rédigé par : CHRISTINA NDULA
« Garder les filles à l’école et mettre fin aux mariages d’enfants », tel est le thème choisi pour cette année à l’occasion de la journée internationale de la jeune fille (JIF) célébrée le 11 octobre. Ce thème met l’accent sur l’éducation qui joue un rôle primordial dans la construction de l’avenir des jeunes filles.
Depuis des années, TPO DRC une organisation qui dans ses priorités place les femmes, les jeunes (filles et garçons) et les enfants au premier plan de ses actions, sensibilise différents services à travers des projets implémentés dans différentes zones de la RDC.
Au départ, TPO DRC se fixe comme priorité la récupération des filles en dehors du circuit scolaire victime de différentes violences à l’Est et à l’ouest du pays.
Des dizaines de milliers d’enfants sont privés de leur droit à l’éducation à cause de ces violences et sont ainsi plus exposés aux risques d’abus, de travail d’enfant et des mariages précoces des filles
L’un de ces projets est : « Action d’appui à l’Éducation dans la province du Kasaï central » financé par l’union européenne qui vise à améliorer l’accès à l’éducation de qualité aux enfants vulnérables en favorisant une éducation inclusive, sûre et continue pour tous les enfants sans distinction. Le projet propose des activités qui permettent à la communauté de briser toutes les barrières qui limitent certaines catégories d’enfants à accéder à l’éducation dont parmi eux les filles suite à des croyances et coutumes dans la zone du projet.
En outre, ce projet donne l’opportunité aux adolescents de se rattraper grâce aux formations professionnelles et réinsertion socio-économique qu’il met à leur disposition.
TPO DRC s’efforce ainsi à lutter contre les mariages d’enfants en général et de la jeune fille en particulier, les grossesses précoces et les violences qui représentent des freins à la scolarisation et au maintien à l’école.
Les filles sont plus susceptibles de se rendre à l’école quand elles ont leurs règles si de l’eau salubre est accessible, ainsi que des installations sanitaires adaptées d’où une implication de plus pour TPO DRC dans la thématique sur le droit sexuel et de la reproduction à travers son projet : « Prévention et réponse intégrée aux violences basées sur le genre(VBG) et à la santé sexuelle et reproductive(SSR) pour les populations vulnérables affectées par la crise humanitaire complexe dans les provinces du Nord-Kivu, Sud-Kivu et de l’Ituri en République Démocratique du Congo » financé par l’union européenne via UNFPA.
TPO DRC a également appuyé ce secteur à travers le projet financé par le fond humanitaire de la république : « Renforcement de l’accès à l’éducation de qualité dans un environnement sur et protecteur en faveur des enfants touchés par la crise des ADF dans la zone de santé de Mambasa et Mandimba, province de l’Ituri »
Ainsi, un appel à l’action est fait pour tous les acteurs pour garantir que les filles du monde entier reçoivent l’éducation qu’elles méritent et soient libérées des injustices liées aux mariages précoces et autres préjugés.
À travers la journée internationale de la fille, les obstacles à l’éducation en raison de la pauvreté, des normes culturelles, les conflits armés, les conflits intercommunautaires et de la discrimination fondée sur le genre doivent être dénoncés pour une lutte continue contre les abus faits à la fille.
Des initiatives de vulgarisation des droits des enfants plus particulièrement de la jeune fille devraient être encouragées et appuyées pour une société égalitaire.
Pour rappel, TPO DRC est engagé dans cette lutte depuis 2015 et continue d’investir pour donner la chance à la fille de réaliser ses rêves.
Publié par : SIFA NAMEGABEJournée internationale de la Santé Mentale : TPO DRC appelle à la promotion des initiatives en faveur de la santé mentale sur le lieu du travail
publié le 2024-10-12 13:18:22
Rédigé par : SIFA NAMEGABE
« Il est temps de donner une priorité à la santé mentale sur le lieu du travail », tel est le thème choisi à l’occasion de la journée internationale de la santé mentale, célébrée le 10 octobre de chaque année. C’est une occasion cruciale, pour sensibiliser et promouvoir des initiatives en faveur de la santé mentale à travers le monde.
TPO DRC (Transcultural Psychosocial Organization), à travers cette journée, réitère son engagement à transformer cette vision en réalité, en mettant l'accent sur l'importance d'intégrer des pratiques favorables à la santé mentale dans les environnements professionnels. Le thème national, « Investissons dans la santé mentale en milieu du travail », souligne le besoin urgent de garantir le bien-être des employés tout en optimisant la performance des entreprises.
D’après Monsieur Thierry MWIKIZA, responsable du programme santé mentale et soutien psychosocial (MH&PSS) à TPO DRC, la RDC est confrontée à de nombreux défis en matière de santé mentale, aggravés par des conflits prolongés, des crises économiques, ainsi qu'un manque de ressources humaines et matérielles. Il ajoute que les travailleurs, souvent soumis à un stress chronique, des conditions de travail précaires et des pressions socioculturelles, souffrent d'une vulnérabilité considérable de développer des troubles psychologiques.
Cette détérioration de la santé mentale se traduit par une baisse de productivité, une augmentation des congés de maladie, une rotation accrue du personnel et un climat de travail délétère. Ces conséquences ne touchent pas seulement les individus, mais impactent aussi gravement les entreprises et l'économie nationale dans son ensemble, générant des coûts significatifs a-t-il indiqué.
Pour répondre à ces défis, TPO DRC, adopte une approche holistique et inclusive visant à renforcer la résilience et le bien-être des travailleurs à travers plusieurs interventions ciblées dont l’organisation des sessions de sensibilisation et de formation sur la santé mentale au travail, pour éduquer les employeurs et les employés sur son importance, les signaux d'alerte, et les ressources de soutien disponibles.
TPO DRC Offre le soutien psychosocial (individuel et de groupe) au personnel des ONG nationales et internationales, ainsi que des entreprises publiques et privées, afin d’aider les employés à gérer le stress et l’anxiété à travers des consultations individuelles, des groupes de soutien, et des ateliers pratiques.
TPO DRC collabore avec des organisations et des entreprises pour établir des environnements de travail propices à la santé mentale, en intégrant des pratiques telles que des horaires flexibles, des espaces de repos, et des programmes de bien-être physique et mental.
TPO DRC mène des évaluations continues des besoins des employés en matière de santé mentale afin d’ajuster les programmes et les ressources en fonction des retours et des observations.
Encourager la promotion d’un équilibre entre vie professionnelle et personnelle à travers des campagnes de sensibilisation et des ressources visant à améliorer la qualité de vie au travail.
En vue de renforcer ses efforts et élargir son impact sur la santé mentale en RDC, TPO DRC met sur pied plusieurs les actions dont : la formation d’un plus grand nombre de professionnels de la santé mentale, collaborer avec les ONG ainsi que les entreprises privées et publiques pour faciliter l’accès de leurs personnels aux soins de santé mentale dans les cliniques d’accompagnement psychosocial de TPO DRC et structures de prise en charge psychosociales au niveau des provinces.
Organiser des plaidoyers pour que le gouvernement et les entreprises adoptent des politiques qui valorisent la santé mentale au travail, garantissant ainsi un cadre juridique et institutionnel favorable à cette cause, Entreprendre des recherches et des études approfondies pour mieux comprendre l’impact des interventions en santé mentale sur le bien-être des travailleurs et la productivité des entreprises.
La Journée Internationale de la Santé Mentale du 10 octobre 2024, représente une opportunité décisive pour réaffirmer notre engagement collectif envers la santé mentale, notamment sur le lieu de travail.
Grâce aux interventions menées par TPO DRC et à la collaboration entre les différents acteurs de la société civile, il est possible de bâtir un environnement de travail plus sain, inclusif et productif en RDC.
Ensemble, investissons dans la santé mentale pour garantir un avenir meilleur à tous les travailleurs congolais. Un travailleur en bonne santé mentale, n'est pas seulement un atout précieux pour le développement durable de notre pays, mais il est également le moteur d'une société résiliente, capable de surmonter les défis contemporains.
En cette journée de réflexion, engageons-nous à faire de la santé mentale une priorité, non seulement dans les discours, mais aussi dans les actions concrètes et durables. Publié par : CHRISTINA NDULA